dimanche 31 janvier 2010

Diluée

Pour Satchi ko qui ne connaissait pas Tokyo, des noms de quartiers comme Shibouya, la Dôgenzaka n’éveillaient en elle aucune idée. Elle imaginait seulement quelque chose comme les aperçus lointains qu’elle avait eus à travers les fenêtres du tramway circulaire, de collines boisées, de vallées, de groupes espacés de maisons, et là-dessus un ciel glacial dont la couleur même donnait le frisson, en un mot un monde totalement différent de celui de la région d’Osaka.
Quatre soeurs de Tanizaki
Tout ce que je sais, c’est qu’au Musée de la Photographie de Tokyo, dans le quartier d’Ebisu, j’avais vu une expo sur Nakayama Iwata. Mais qu’au bout du compte, ce que j’avais préféré, à un autre étage, c’étaient les photos de paysage prises par Toshio Shibata (ici). Après, je ne sais plus, mes traces s’arrêtent là...

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