OUF... dernière journée de labeur...
Aujourd'hui je vais, comme toute cette semaine, arriver tôt, un café à la main. Je vais ouvrir tout grand la fenêtre qui donne sur le square, et les cris des corbeaux vont rythmer mes corrections.
Quand j'arrive, on passe encore l'aspi dans les couloirs. Et le portier va me dire "Good morning Ann" avec un accent inimitable. Je vais allumer l'ordinateur et mettre la radio. Personne ne s'imagine que je suis dans mon bureau, alors j'ai une paix royale.
De temps en temps, je fais une petite pause. C'est dangereux car je me mets à commander des bouquins. Je veux enseigner une pièce de Molière l'an prochain et à chaque colis qui m'attend dans mon casier correspond une de ces pausettes entre deux corrections.
Ce que m'aura appris cette semaine besogneuse c'est que j'aime bien mes collègues. C'est à ce moment de l'année qu'on se fréquente le plus et je me suis rendu compte qu'ils avaient beaucoup de qualités et faisaient preuve d'un grand professionalisme.
Aujourd'hui je vais, comme toute cette semaine, arriver tôt, un café à la main. Je vais ouvrir tout grand la fenêtre qui donne sur le square, et les cris des corbeaux vont rythmer mes corrections.
Quand j'arrive, on passe encore l'aspi dans les couloirs. Et le portier va me dire "Good morning Ann" avec un accent inimitable. Je vais allumer l'ordinateur et mettre la radio. Personne ne s'imagine que je suis dans mon bureau, alors j'ai une paix royale.
De temps en temps, je fais une petite pause. C'est dangereux car je me mets à commander des bouquins. Je veux enseigner une pièce de Molière l'an prochain et à chaque colis qui m'attend dans mon casier correspond une de ces pausettes entre deux corrections.
Ce que m'aura appris cette semaine besogneuse c'est que j'aime bien mes collègues. C'est à ce moment de l'année qu'on se fréquente le plus et je me suis rendu compte qu'ils avaient beaucoup de qualités et faisaient preuve d'un grand professionalisme.
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