J’ai rêvé, dans la nuit qui suivait la « grande messe des corrections », j’ai rêvé qu’au matin, en me levant, je découvrais qu’un insecte immonde avait fait son nid dans mon couloir, près de ma porte d’entrée. Rien à voir avec ce joli insecte vert sur cette marguerite ! Un énorme insecte, visqueux, pris dans une toile, une sorte de ver géant. Dans mon rêve, au lieu de me démonter, je me saisissais d’un balai et, ni une ni deux, je décapitais cette monstruosité, puis la coupais en deux par le milieu, sans l’ombre d’un dégoût. Quand je me suis réveillée, c’est là que j’ai fait la grimace. En réfléchissant, le sens de ce rêve me paraît évident : cet insecte gluant c’est le stress généré par le travail. Ça m’a fait rire de boucler cette année par ce rêve. Cela montre vraiment que dans ma tête j’ai tiré un trait, que je suis passée à autre chose.
1 commentaire:
Un petit bisou au cou de cette fleur. Les rêves passent.
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