Dans le noir du placard aux livres, les indispensables Stendhal, Flaubert, Balzac, Zola, Maupassant (ces deux derniers dans une collection qui me vient de mes parents) et Proust, côtoient pêle-mêle Thomas et Klaus Mann, Rainer Maria Rilke, Franz Kafka (les seuls Pléiades que j’ai. C’est de lui et sur lui que j’ai le plus de livres) et Milan Kundera (mais ce dernier plus pour très longtemps, il ne m’intéresse plus du tout).
La Grande Mademoiselle, Alma Mahler-Werfel (son extraordinaire journal), Benoîte Groult, Marie Cardinal, Marguerite Duras, Simone de Beauvoir et Edith Wharton manquent de s’écrouler sur Cicéron, Suétone, Pline le Jeune et Martial.
Baudelaire, Rimbaud, Federico García Lorca et Joseph Brodsky, reposent de tout leur poids sur les oeuvres complètes de Molière, La Bruyère et Rabelais.
Laurence Sterne (Tristram Shandy) et D.H. Lawrence (The Plumed Serpent), Lord Byron, Samuel Richardson (Clarissa), John Fante, Shakespeare et Walt Whitman, jouent des coudes avec Voltaire, Diderot et Beaumarchais.
Tolstoï et Dostoïevski (que j’ai régulièrement envie de relire) écrasent de leurs poids conjugués Umberto Eco (des essais, pas ses romans) et Juan Goytisolo.
Jorge Semprún et Jean-Christophe Petitfils (Louis XIII, XIV et XVI) aplatissent Roland Barthes et Philippe Sollers (1 seulement).
Il y a aussi deux ouvrages dont le petit format n’est pas pratique à caser : La Bible (témoin d’une option d’histoire à la fac) et un Missel qui me vient de ma grand-mère.
La Grande Mademoiselle, Alma Mahler-Werfel (son extraordinaire journal), Benoîte Groult, Marie Cardinal, Marguerite Duras, Simone de Beauvoir et Edith Wharton manquent de s’écrouler sur Cicéron, Suétone, Pline le Jeune et Martial.
Baudelaire, Rimbaud, Federico García Lorca et Joseph Brodsky, reposent de tout leur poids sur les oeuvres complètes de Molière, La Bruyère et Rabelais.
Laurence Sterne (Tristram Shandy) et D.H. Lawrence (The Plumed Serpent), Lord Byron, Samuel Richardson (Clarissa), John Fante, Shakespeare et Walt Whitman, jouent des coudes avec Voltaire, Diderot et Beaumarchais.
Tolstoï et Dostoïevski (que j’ai régulièrement envie de relire) écrasent de leurs poids conjugués Umberto Eco (des essais, pas ses romans) et Juan Goytisolo.
Jorge Semprún et Jean-Christophe Petitfils (Louis XIII, XIV et XVI) aplatissent Roland Barthes et Philippe Sollers (1 seulement).
Il y a aussi deux ouvrages dont le petit format n’est pas pratique à caser : La Bible (témoin d’une option d’histoire à la fac) et un Missel qui me vient de ma grand-mère.
Pendant ce temps, Murakami, Kawabata et Shikibu se pavanent à l’air libre, comme des oiseaux hors de leurs cages, dans tout l’appartement.
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