Derrière chez moi, des noms de rues inconnus, un canal, des canards, des saules pleureurs. Les oiseaux chantent dans le silence, il y a peu de voitures, et des jardiniers qui plantent, en sifflotant, les inévitables jonquilles du printemps londonien dans leur jardinet.
Je vais chez ma coiffeuse. Je papote et elle coupe. Je continue mes bavardages et elle n’en finit pas de cisailler. Puis elle me demande d’admirer la « coupe très londonienne » qu’elle m’a ciselée. Dans son salon, j’acquiesce en rigolant. Mais, poule mouillée, je n’ose pas prendre le bus pour rentrer car ma tête ne me revient pas... Le lendemain je partais à Paris... pourquoi ne m’a-t-elle pas fait « une coupe très parisienne » ? Je repasse parmi les oiseaux, les jardiniers, le canal et ses canards, mais je ne flâne plus, je rentre dare-dare me faire des risettes et prendre des poses devant ma glace pour accepter ma nouvelle tête !
Je vais chez ma coiffeuse. Je papote et elle coupe. Je continue mes bavardages et elle n’en finit pas de cisailler. Puis elle me demande d’admirer la « coupe très londonienne » qu’elle m’a ciselée. Dans son salon, j’acquiesce en rigolant. Mais, poule mouillée, je n’ose pas prendre le bus pour rentrer car ma tête ne me revient pas... Le lendemain je partais à Paris... pourquoi ne m’a-t-elle pas fait « une coupe très parisienne » ? Je repasse parmi les oiseaux, les jardiniers, le canal et ses canards, mais je ne flâne plus, je rentre dare-dare me faire des risettes et prendre des poses devant ma glace pour accepter ma nouvelle tête !
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