Ainsi, Slumdog Millionaire de Danny Boyle a gagné je ne sais combien de Golden Globes... les bras m’en tombent. J’ai vu ce film samedi soir – je ne l’avais pas choisi - dans un cinéma plein à craquer qui, dès que les lumières se sont éteintes, a résonné des scrunchs scrunchs des bouffeurs de popcorn, de nachos, de hot dogs, et des slurrrrps, slurrrrps des buveurs de bière, de vin (mes voisins, avec carrément des verres !), et de coca.
Dès le début du film, la musique aux paroles insipides a écorché vives mes oreilles. Par la suite, la violence (tortures multiples et gratuites), les scènes d’horreur (une qui se passait dans des toilettes a fait hurler de rire le cinéma, moi j’avais envie de pleurer ; une autre « avec des yeux » m’a donné envie de vomir), les dialogues creux, les acteurs de bois (ho la la... celui qui ressemblait à Georges Michael au temps de Wham !... ), les invraisemblances, la fin dégoulinante et culcul la praline, les clichés sur les gros Américains stupides... c’était un peu comme être forcé de lire à la suite un Anna Gavalda, un Marc Levy, un Eric-Emmanuel Schmidt, un Christian Jacq... J’ai trouvé ce film absolument merdique. Et le voilà qu’il remporte la mise aux Golden Globes... C’est triste !
Alors la Reine (G. qui a ensuite trouvé la fève dans la galette) et son mari, le concocteur du meilleur hachis Parmentier de ce côté-ci de la Manche... ont eu beau jeu de me parler de l’Inde, du Taj Mahal et de ses guides etc... rien à faire, ce film est une horreur, il n’est tout simplement pas pour moi, c’est tout.
J’ai mille fois préféré ce que les artistes de l’exposition Chalo India ! au Mori Museum de Tokyo m’ont appris sur l’Inde d’aujourd’hui. Dès la première salle - où se trouve la « sculpture » d’un éléphant endormi grandeur nature – est projetée la magnifique vidéo Mappamundi beyond border de Gulammohammed Sheikh : 3 projecteurs envoient sur un écran l’image d’une carte du monde médiévale où apparaissent peu à peu des personnages, des bâtiments, des animaux, des plantes appartenant au monde oriental ou occidental (par exemple saints catholiques et yogis, citadelles italiennes et palais indiens...). On ressort de cette expo en comptant les passerelles entre l’Inde et nous, pas en la rejetant pour la violence de ses contrastes.
Dès le début du film, la musique aux paroles insipides a écorché vives mes oreilles. Par la suite, la violence (tortures multiples et gratuites), les scènes d’horreur (une qui se passait dans des toilettes a fait hurler de rire le cinéma, moi j’avais envie de pleurer ; une autre « avec des yeux » m’a donné envie de vomir), les dialogues creux, les acteurs de bois (ho la la... celui qui ressemblait à Georges Michael au temps de Wham !... ), les invraisemblances, la fin dégoulinante et culcul la praline, les clichés sur les gros Américains stupides... c’était un peu comme être forcé de lire à la suite un Anna Gavalda, un Marc Levy, un Eric-Emmanuel Schmidt, un Christian Jacq... J’ai trouvé ce film absolument merdique. Et le voilà qu’il remporte la mise aux Golden Globes... C’est triste !
Alors la Reine (G. qui a ensuite trouvé la fève dans la galette) et son mari, le concocteur du meilleur hachis Parmentier de ce côté-ci de la Manche... ont eu beau jeu de me parler de l’Inde, du Taj Mahal et de ses guides etc... rien à faire, ce film est une horreur, il n’est tout simplement pas pour moi, c’est tout.
J’ai mille fois préféré ce que les artistes de l’exposition Chalo India ! au Mori Museum de Tokyo m’ont appris sur l’Inde d’aujourd’hui. Dès la première salle - où se trouve la « sculpture » d’un éléphant endormi grandeur nature – est projetée la magnifique vidéo Mappamundi beyond border de Gulammohammed Sheikh : 3 projecteurs envoient sur un écran l’image d’une carte du monde médiévale où apparaissent peu à peu des personnages, des bâtiments, des animaux, des plantes appartenant au monde oriental ou occidental (par exemple saints catholiques et yogis, citadelles italiennes et palais indiens...). On ressort de cette expo en comptant les passerelles entre l’Inde et nous, pas en la rejetant pour la violence de ses contrastes.
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