mercredi 29 juillet 2009

Entre Rilke et la harpe

Je crois que je devrais commencer à travailler un peu, maintenant que j’apprends à voir.

Les Cahiers de Malte Laurids Brigge de Rainer Maria Rilke
Mon état d’esprit, en cette fin juillet, est exactement au point de rencontre, pitched, entre la phrase de Rilke et ce poème égyptien d’il y a 3409 ans. C’est mon cap, et j’ai mis très longtemps à réaliser que c’était mon caractère aussi et que je me sentais mal si j’allais trop d’un côté en négligeant l’autre. C’est dans cet équilibre que je me repose et que j’avance, et qu’une existence surabondante [peut jaillir] dans mon coeur (Rilke). C’est comme ça et c’est bien!

2 commentaires:

asiemutée a dit…

3409 ans ... il autait pu être écrit hier !!
Je pense que nous avons besoin de diversité - tout comme notre société d'ailleurs - pour nous construire et assurer notre équilibre ...

Agnès a dit…

Oui... on dirait les paroles d'une chanson pop. Je crois que ma devise c'est: joindre l'utile a l'agreable. Et en fait tout devient agreable a la fin... ! Merci de ces petits commentaires quotidiens, ca me fait vraiment plaisir!