Une des premières choses que j’avais faites en débarquant à Londres, c’était d’aller chez un disquaire d’Oxford street pour m’acheter des... cassettes de mes chanteurs préférés de l’époque : les Smiths, Microdisney, les Pet shop Boys, Marc Almond et même Def Leppard dont j’aimais le batteur qui n’avait qu’un bras, comme je l’avais lu dans Rock&Folk. De ces premiers achats, du walkman sur lesquels je les écoutais, il ne me reste rien.
Quelques années plus tard, pour inaugurer mon discman, j’avais acheté un CD de David Byrne, un de Berlioz et pour couronner le tout, un des Gypsy Kings ! Vraiment, je me cherchais... Eux aussi ont disparu, sans regret.
Il y a peu, quand je suis rentrée chez moi avec mon magnifique lecteur mp3 dernier cri, j’ai choisi d’y télécharger en premier Devendra Banhart, le seul dont je ne me lasse pas. Il est inclassable et versatile ; sa voix part dans tous les sens ; ses paroles, en anglais ou en espagnol, sont sans queue ni tête, romantiques ou burlesques ; sa musique peut être aussi mélodieuse que déstructurée ... mais malgré tout, il y a de la méthode derrière sa folie. Il me fait penser à Jean-Louis Murat, au catalan Manolo García et même, à Paolo Conte (petit clin d’oeil à Christine). Sans eux, je n’écouterais plus de chansons.
Il y a peu, quand je suis rentrée chez moi avec mon magnifique lecteur mp3 dernier cri, j’ai choisi d’y télécharger en premier Devendra Banhart, le seul dont je ne me lasse pas. Il est inclassable et versatile ; sa voix part dans tous les sens ; ses paroles, en anglais ou en espagnol, sont sans queue ni tête, romantiques ou burlesques ; sa musique peut être aussi mélodieuse que déstructurée ... mais malgré tout, il y a de la méthode derrière sa folie. Il me fait penser à Jean-Louis Murat, au catalan Manolo García et même, à Paolo Conte (petit clin d’oeil à Christine). Sans eux, je n’écouterais plus de chansons.
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