Si on ne peut pas y aller soi-même en pèlerinage et qu’on vit à Tôkyô, on a l’embarras du choix : il suffit de se rendre au jardin Hamarikyû par exemple et de grimper au sommet de ce mont artificiel pour que les mille dieux du Japon fassent preuve d’indulgence à votre égard. Mais le vrai, l’unique, la star, il s’annonce par des sunlights de nuages... ...des tourbillons de brume, un puissant souffle blanc... une lave blanche immatérielle projetée dans le ciel bleu... ...une nuée enchantée au-dessus de prosaïques champs de salades et de choux-fleurs...
Plus on s'en approche et plus il se fait aveuglant... qui lance ce feu d'artifice? Peut-être ce sont des fusées de détresse ? La détresse de ceux qui ont contemplé de trop près sa beauté ?
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