Je regardais par la fenêtre quand soudain une flottille de bombardiers a obscurcit le ciel. Ils passaient au-dessus de la maison, et l’un d’entre eux s’en est tant rapproché qu’il a touché le toit. La maison s’est mise à se déplacer, comme une roulotte. Il y avait des gens dans les rues qui regardaient la maison passer. Moi je m’égosillais : « Arrêtez ! Arrêtez ! » La maison s’est enfin immobilisée, bien loin de sa base. La propriétaire m’a dit : « Le temps de sa reconstruction vous pourrez partager un appartement avec 2 autres personnes » A ces mots, je me suis effondrée, et me laissant glisser au sol, je me suis mise à sangloter : « Ce n’est pas possible, je n’en peux plus ! » J’étais bien contente de me réveiller ! Il est encore obscur mais je commence à comprendre le sens de ce cauchemar...
2 commentaires:
D'où vient ce vers ? de quel poème ?
J'envie parfois ce bain culturel bouillonnant.
Le mort joyeux...
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