vendredi 17 décembre 2010

Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir?

Vous, là-haut, la voyez-vous s’avancer comme les cavaliers du conte, la neige qui poudroie ?
Toujours rien, M’sieur Estienne ?
Au premier flocon, alertez-moi, Pierre Viole, seigneur de Guermantes, que je commence à me lamenter...
J’ai tellement de déplacements prévus aujourd’hui, j’ai besoin de trotter pas de patiner n’en déplaisent au chroniqueur Pierre de L’Estoile (il a connu Henri IV, lui, et il aurait pu identifier sa tête mieux que tous les chercheurs du monde !) et au prévôt Etienne Boyleau dont les perchoirs de l’Hôtel de Ville de Paris donnent sur une patinoire en ce moment...
Votre regard n’augure rien de bon, statue de Notre-Dame... Intercédez pour moi pour qu’il ne neige que jeudi prochain et surtout pas, surtout pas mardi !

2 commentaires:

Sylvia a dit…

Très amusante Agnès! Tu sentais en vacances maintenant. S

Agnès a dit…

Pas encore, pas encore...