J’ai acheté le journal juste avant ma série de cours du mardi, et cet article m’a vraiment mise de bonne humeur ! Je ne sais pas ce qu’ils ont fait à la photo du « Diderot des temps modernes » comme ils l’appellent dans l’article, mais lui qui est dans la vie si fringant, il a ici le teint cireux et la pose figée d’un mannequin de chez Madame Tussaud ! Il lui manque une perruque poudrée, un habit de velours à boutons dorés, pour ressembler à Voltaire peint par Quentin de La Tour ou Nicolas de Largillière... Diderot, Voltaire, il a leur esprit et leur génie ! Ha la la... que ça valait la peine d’acheter cette feuille de chou ce matin-là !
Mais frais minois pour frais minois, je n’ai pas pu résister à acheter Voici... Il faut dire que quand j’étais à Paris je suis tombée sur un épisode de Qui veut épouser mon fils ? à la télévision. C’est une horreur qui met vraiment mal à l’aise, je plains la personne qui en a eu l’idée, et les dindes qui y participent avec leurs bouches et leur poitrines surdimensionnées, ce qui faisait dire aux garçons, en guise de compliment, que leurs prétendantes avaient des « corps de ouf ». Le bellâtre sur la couverture, bête à manger du foin, était le pire de tous. Et sa mère, le visage tiré à quatre épingles, une vraie harpie. C’était le degré zéro de la télévision. J’ai essayé de décrire à R. ce que j’avais vu, et quand j’ai aperçu la photo de l’Apollon de pacotille étalé sur la couverture de Voici... Il faut le voir pour le croire. Pendant ma courte pause déjeuner, j’ai trouvé un coin tranquille où j’ai pu dévorer à la fois mon sandwich et Voici de bout en bout avec l’air d’une Sainte Nitouche. J’aurais mieux fait, pour ma digestion, de contempler pendant 1h le portrait du brillantissime « patron du British Museum » ! Mais son article je le gardais pour la bonne bouche!
Mais frais minois pour frais minois, je n’ai pas pu résister à acheter Voici... Il faut dire que quand j’étais à Paris je suis tombée sur un épisode de Qui veut épouser mon fils ? à la télévision. C’est une horreur qui met vraiment mal à l’aise, je plains la personne qui en a eu l’idée, et les dindes qui y participent avec leurs bouches et leur poitrines surdimensionnées, ce qui faisait dire aux garçons, en guise de compliment, que leurs prétendantes avaient des « corps de ouf ». Le bellâtre sur la couverture, bête à manger du foin, était le pire de tous. Et sa mère, le visage tiré à quatre épingles, une vraie harpie. C’était le degré zéro de la télévision. J’ai essayé de décrire à R. ce que j’avais vu, et quand j’ai aperçu la photo de l’Apollon de pacotille étalé sur la couverture de Voici... Il faut le voir pour le croire. Pendant ma courte pause déjeuner, j’ai trouvé un coin tranquille où j’ai pu dévorer à la fois mon sandwich et Voici de bout en bout avec l’air d’une Sainte Nitouche. J’aurais mieux fait, pour ma digestion, de contempler pendant 1h le portrait du brillantissime « patron du British Museum » ! Mais son article je le gardais pour la bonne bouche!
1 commentaire:
Hi hi, merci pour cette bonne tranche de rire !
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