Et aussi eut, avec le grand savoir, qui fut moult notable, moult belle parlure et façon de très gracieuse l’excellent duc de Bourgogne.
Le Livre du corps de policie de Christine de Pizan
Dans Les 400 coups de François Truffaut, Antoine Doisnel, après avoir lu Le chef d’oeuvre inconnu, allume une bougie à Balzac. Je comprends tout à fait ce qui le pousse à faire ce geste : il y a quelqu’un, à Londres, qui rassemble en lui toutes les qualités que Christine de Pizan reconnaissait à Philippe le Hardi. Et mon « admiration joyeuse » (que Christine ressent à l’encontre du duc Louis d’Orléans cette fois) me pousserait presque à lui allumer une bougie!
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