Quand le regard de Toyosaburô s’est déplacé de l’arbre jusqu’au ciel, il a senti son cœur se gonfler brusquement. Dans un coin du ciel, son pays natal se dessina dans sa mémoire, aussi nettement que la marque noire d’un point... Le point se trouvait bien loin, mais il le vit aussi distinctement que s’il était sur sa table.
La Voix dans « Petits contes de printemps » de Soseki
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