Puisque mon cher ordi ne me laisse pas mettre d’image - pour des raisons que la raison ignore et que je n’ai ni le temps ni l’envie d’explorer, je vous laisse imaginer la photo que j’ai sous les yeux :
Le ciel est d’un bleu Majorelle mais nous sommes bien loin de Marrakech
Les nuages épars sont bleu Klein.
La mer onctueuse est d’un bleu saphir satiné : on a envie d’y plonger le bout des doigts, juste pour vérifier si la couleur de l’eau déteindrait sur eux.
Le bout de plage est bleu nuit et le croissant de lune, tout là-haut, derrière son halo de brume, est blanc.
Le soleil a laissé au fond du ciel, dans son sillage, une nuée rose qui s’évapore.
Cette photo est d’une beauté stupéfiante et je n’ose imaginer ce qu’on peut ressentir devant un tel spectacle, ou quand on découvre, après-coup, sur un bout de pellicule, que l’on a capturé une telle image.
Le ciel est d’un bleu Majorelle mais nous sommes bien loin de Marrakech
Les nuages épars sont bleu Klein.
La mer onctueuse est d’un bleu saphir satiné : on a envie d’y plonger le bout des doigts, juste pour vérifier si la couleur de l’eau déteindrait sur eux.
Le bout de plage est bleu nuit et le croissant de lune, tout là-haut, derrière son halo de brume, est blanc.
Le soleil a laissé au fond du ciel, dans son sillage, une nuée rose qui s’évapore.
Cette photo est d’une beauté stupéfiante et je n’ose imaginer ce qu’on peut ressentir devant un tel spectacle, ou quand on découvre, après-coup, sur un bout de pellicule, que l’on a capturé une telle image.
C’est tout ce que j’aime... la ligne entre le ciel et la mer, entre la mer et le sable. L’horizontalité de la plage... C’est le plus beau paysage du monde, c’est le seul spectacle complètement nourrissant pour l’esprit et pour l’âme.
Agnès Varda au Festival de Venise au sujet de son nouveau film
Les Plages d’Agnès (2008)
Sinon j’ai réservé ce matin une chambre d’hôtel à Tokyo et une chambre d’hôtel à Kyoto. Je vois des étoiles...
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