J’aime bien ces trois soldats. J’imagine très bien combien ils devaient faire peur à leurs contemporains ou les rassurer. On peut imaginer tout ce qu’on veut à la place de leurs lances ou de leurs glaives disparus. Dans un film de science-fiction ou des Monty Python ils sonneraient aux portes et diraient de leurs trois bouches : Voici les croissants ! Quand j’étais petite au Maroc le boulanger faisait sa tournée tous les matins, il amenait le journal et les croissants. J’aime bien cette absence d’armes surtout. Ils illustreraient parfaitement un livre sur le stress au quotidien, sur ces tracas qu’on ne fait souvent que s’imaginer. Bon, sur ces mots, j’attaque mon croissant !
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