lundi 7 septembre 2009

Mauvais cheval

Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux: un temps pour naître, et un temps pour mourir; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté; un temps pour tuer, et un temps pour guérir; un temps pour abattre, et un temps pour bâtir; un temps pour pleurer, et un temps pour rire; un temps pour se lamenter, et un temps pour danser; un temps pour lancer des pierres, et un temps pour ramasser des pierres; un temps pour embrasser, et un temps pour s'éloigner des embrassements; un temps pour chercher, et un temps pour perdre; un temps pour garder, et un temps pour jeter; un temps pour déchirer, et un temps pour coudre; un temps pour se taire, et un temps pour parler; un temps pour aimer, et un temps pour haïr; un temps pour la guerre, et un temps pour la paix.

L’Ecclésiaste
J’aurais bien voulu arriver à aujourd’hui, date semi-officielle où je reprends du collier, un peu plus sage. Pendant ces vacances j’aurais aimé « prendre de la graine » en trouvant le moyen, le moment venu, de ne pas regretter mon bel été et en prenant les choses philosophiquement. Mais ce n’est pas le cas du tout. Je freine des quatre fers. J’ai envie de sauter la barrière et de prendre la clé des champs au grand galop...

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