Olivier Py reçoit Vincent Josse dans son bureau du Théâtre de l’Odéon :
« Je voudrais que vous me décriviez ce que vous voyez par cette petite fenêtre ronde ?
- Le plus beau paysage du monde... On a vue sur le jardin du Luxembourg. Et c’est merveilleux.
- Avec l’automne qui arrive, là...
- On devient facilement fou quand on vit dans un théâtre du matin au soir... [Parce qu’on] doit mettre en scène [la folie], la folie des hommes, la folie de l’histoire, la folie des poètes. Alors quelquefois, je regarde par là et je vois la fontaine Médicis.
- Vous avez vu ce ciel ?
- Oui, c’est une chose extraordinaire, le Luxembourg... »
« Je voudrais que vous me décriviez ce que vous voyez par cette petite fenêtre ronde ?
- Le plus beau paysage du monde... On a vue sur le jardin du Luxembourg. Et c’est merveilleux.
- Avec l’automne qui arrive, là...
- On devient facilement fou quand on vit dans un théâtre du matin au soir... [Parce qu’on] doit mettre en scène [la folie], la folie des hommes, la folie de l’histoire, la folie des poètes. Alors quelquefois, je regarde par là et je vois la fontaine Médicis.
- Vous avez vu ce ciel ?
- Oui, c’est une chose extraordinaire, le Luxembourg... »
Esprit critique, France Inter (ici)
J’aurais aimé, ce matin-là, me retrouver d’un coup de baguette magique dans le Jardin du Luxembourg à Paris. Alors pour patienter, avant que cela ne soit possible, c'est vrai qu'il y a Hyde Park... Et ces feuilles mortes sont japonaises.
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