Un poème de Hafez dit: “Si la vie n’est rien d’autre qu’un bourgeon noueux, à toi d’être la brise printanière qui le dénoue. » L’on peut certes voir l’existence comme un amas de difficultés inextricables, insurmontables. Mais on peut aussi considérer qu’il s’agit là des replis sinueux de pétales naissants qu’il nous est donné de caresser de notre souffle inlassable, jusqu’à ce qu’enfin ce bourgeon s’épanouisse et nous permette d’accéder au sens, à l’essence de notre existence.
Et puis j'ai aussi lu ce texte bouleversant sur le site de Tahar Ben Jelloun: ici
Pluie et Vent d’Abbas Kiarostami
2 commentaires:
Quelle belle déclaration d'amour, de tendresse, quel beau regard que celui de T. Ben Jelloun !
J'ai beaucoup aime son interview au Zapping de France Inter la semaine derniere, sa facon de parler de son fils en disant "c'est quelqu'un de bien". C'etait tres emouvant.
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