dimanche 28 juin 2009

L’éclaircie par le rire

J’ai peur
Que le parfum ne vienne
Aux fleurs de papier
Lorsque la rose
Perd le sien

Abbas Kiarostami
Quel carnage parmi les rosiers hier! Pour la deuxième fois en quelques jours, des trombes d’eau nous sont tombées sur la tête accompagnées de grêlons énormes. C’est la violence de ces orages qui me frappe. Des branches d'arbres jonchaient la chaussée. Et la durée du déluge! Mais encore une fois je l’ai échappé belle car après une course folle contre la montre avec l’orage, j’ai tourné ma clé dans la serrure au moment où tombaient les premières gouttes de pluie. Je revenais du cinéma : Rudo y Cursi de Carlos Cuaron, le réalisateur mexicain de Y tu mama también est à mourir de rire ! La vraie éclaircie de cette journée pluvieuse.

2 commentaires:

asiemutée a dit…

Ce n'est pas si mal, un dimanche après-midi avec le beau Gael Garcia Bernal ...
Moi je l'ai passé à la plage, en compagnie d'Haruki Murakami, entre deux bains ... Même si parfois je m'y ennuie, je reconnais que j'ai de la chance d'habiter la Côte d'Azur.
Je rejoins ton avis sur Tsukudajima, j'envisagerais volontiers d'y loger lors d'un prochain séjour à Tokyo, bien que je me plaise aussi beaucoup à Asakusa !

Agnès a dit…

Dans ce film il n'est pas toujours a son avantage, mais il est vraiment drole. Quel livre de Murakami? Moi je pensais m'exiler a Tsukudajima... carrement!