La dulzura tenue del anochecer,
cual negro rocío, tapizó la senda,
teniendo de inmenso dosel a la noche,
que venía grave, preñada de estrellas.
...pour toucher du doigt la beauté. Je me demande si des amoureux du poète se sont réunis ce matin sur la place de Fuente Vaqueros près de Grenade comme à l’accoutumée ? Je les imagine réciter quelques vers, la Sierra Nevada en toile de fond, et ensuite se rendre dans un café pour déguster des churros. C’est une image bien prosaïque : c’est que je vais moi-même de ce pas prendre mon petit-déjeuner. Pour le 7 juin, en guise de cadeau d’anniversaire, j’espère avoir fini la vie de Paul Gauguin qui la commença ce jour-là en 1848.
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