C’est Horatio, dans Hamlet, qui dit avoir l’humeur buissonnière. C’est la première fois que je lis un livre bilingue (Folio Théâtre 86) et c’est une expérience, disons... j’ose le mot : jubilatoire. Ce serait une expérience de le lire à deux voix, avec un léger décalage, phrase par phrase sur une scène. Mes yeux vont de l’anglais au français et de nouveau à l’anglais et j’ai beau avoir vu cette pièce plusieurs fois, l’avoir étudiée à l’université, je découvre des détails de la pièce que j’ignorais totalement. Le va et vient entre les deux langues permet de se rendre compte encore plus de la beauté de la pièce. J’espère finir sa lecture avant samedi, jour où j’assisterai à une représentation d’Hamlet au National Theatre.
Le hasard veut que Les Nouveaux Chemins sur France Culture (ici) fasse une semaine sur Shakespeare et l’émission sur Richard III était fabuleuse. Je viens de regarder Looking for Richard de Al Pacino, sur la pièce, et maintenant je prie pour que le Globe (dans le film Al Pacino le visite en construction) mette Richard III à l’affiche lors de sa prochaine saison. Je ferais bien une lecture d’Hamlet sur scène avec Al Pacino !Normalement je vais demain à Oxford. Pourvu qu’il fasse aussi beau qu’aujourd’hui !
Le hasard veut que Les Nouveaux Chemins sur France Culture (ici) fasse une semaine sur Shakespeare et l’émission sur Richard III était fabuleuse. Je viens de regarder Looking for Richard de Al Pacino, sur la pièce, et maintenant je prie pour que le Globe (dans le film Al Pacino le visite en construction) mette Richard III à l’affiche lors de sa prochaine saison. Je ferais bien une lecture d’Hamlet sur scène avec Al Pacino !Normalement je vais demain à Oxford. Pourvu qu’il fasse aussi beau qu’aujourd’hui !
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