jeudi 21 octobre 2010

Où je cherche à faire pleurer dans les chaumières...

Comme le chantait Barbara « Ça ne prévient pas quand ça arrive » : un matin on s’aperçoit qu’on a mis le pied dans un engrenage, une routine, qu’on suit sans se poser de questions. Je m’étais juré de faire attention, de ne pas me laisser happer corps et âme, mais c’est fait. J’exagère comme toujours, mais ce matin j’ai vu clairement que tout ce que je faisais pour moi je commençais à le faire « contre quelque chose » et non pour le simple plaisir de le faire. Plus le stress du travail empire, plus je compense, et donc je m’épuise pour rien. Je suis très contente de m’en être aperçu à temps ! C’est en regardant des photos que j’avais prises cet été que j’ai découvert que le ver était dans le fruit. Je ne reconnaissais plus la personne qui avait tenu l’appareil...

1 commentaire:

Marie a dit…

Même chemin de pensées ce matin, en regardant des billets de 2009... Je t'écris !