Le Turbine Hall était sombre et j’étais en avance. J’ai trouvé un profond fauteuil en cuir où je me suis endormie. C’était bon cette petite sieste ! Ensuite j’ai vu l’expo : les tableaux de Gauguin si colorés juraient avec le panorama du fleuve à l’extérieur. En sortant il faisait encore plus gris et il pleuvait. Mais vraiment, là, je m’en moquais pas mal. Il ne me restait qu’un truc casse-pied à faire avant d’aller me régaler dans un petit restaurant vietnamien en bonne compagnie !
Zuihitsu ou "notes au fil du pinceau", comme en composaient les gentes dames de la cour de Heian au Japon, aux environs de l’an 1000: « J’ai rassemblé des notes sur les événements qui s’étaient déroulés devant mes yeux et sur les réflexions que j’avais faites en mon âme » (Sei Shōnagon dans Notes de chevet)
lundi 18 octobre 2010
Qu’est-ce qu’il faisait gris ce jour-là !
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4 commentaires:
Et tu n'as pas été te coucher dans les graines de tournesol ? (Lors de notre dernière visite, le Turbine Hall était lézardé par Doris Salcedo...) Roooh, mes photos de la City en 1998 vont devenir de plus en plus obsolètes ! Douce semaine !
PS : J'ai mangé ma chicken and mushroom pie !
Non,on a ferme l'installation car elle donne lieu a des poussierres toxiques!
Ah, l'art contemporain... Uh uh.
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