je souris
sans raison
j’aime
sans mesure
je vis
sans m’en faire
ces temps-ci
Havres de Abbas Kiarostami
sans raison
j’aime
sans mesure
je vis
sans m’en faire
ces temps-ci
Havres de Abbas Kiarostami
Au stand Clarin(ette)s, j’avais le choix entre 3 crèmes de jour pour le visage à des prix naturellement exorbitants.
La première prévenait la venue des premières rides. Seules les jeunettes de moins de 40 ans peuvent se la tartiner sur leur toujours fraîches frimousses.
La seconde ne ferait du bien qu’aux minois des quadragénaires qui se retrouvent, du jour au lendemain, sillonnés, creusés, ravagés par d’affreuses rides.
La troisième, toute nouvellement barattée – « Vous en voyez la pub partout » me dit une blonde vendeuse dans son uniforme rouge et blanc très ajusté – combine les qualités de la première, de la seconde, mais en plus, elle vous illuminerait le visage.
Tout ce baratin m’a fait tourner les talons.
Je ne suis pas du genre à scruter mon visage pour débusquer mes premières et dernières rides. Je ne saurais dire si j’en ai.
Et quant à avoir un visage qui s’illumine, je n’ai pas besoin de crème pour cela. Na !
C’est bien beau tout cela, mais être sortie de ce magasin les mains vides est bien ballot : ce matin il ne me reste qu'une noix de crème, juste assez pour hydrater mon visage entre Londres et Oxford and back !
Mais... ne dit-on pas que c’est à Oxford que l’on produit la crème de la crème de l’Angleterre ?
La première prévenait la venue des premières rides. Seules les jeunettes de moins de 40 ans peuvent se la tartiner sur leur toujours fraîches frimousses.
La seconde ne ferait du bien qu’aux minois des quadragénaires qui se retrouvent, du jour au lendemain, sillonnés, creusés, ravagés par d’affreuses rides.
La troisième, toute nouvellement barattée – « Vous en voyez la pub partout » me dit une blonde vendeuse dans son uniforme rouge et blanc très ajusté – combine les qualités de la première, de la seconde, mais en plus, elle vous illuminerait le visage.
Tout ce baratin m’a fait tourner les talons.
Je ne suis pas du genre à scruter mon visage pour débusquer mes premières et dernières rides. Je ne saurais dire si j’en ai.
Et quant à avoir un visage qui s’illumine, je n’ai pas besoin de crème pour cela. Na !
C’est bien beau tout cela, mais être sortie de ce magasin les mains vides est bien ballot : ce matin il ne me reste qu'une noix de crème, juste assez pour hydrater mon visage entre Londres et Oxford and back !
Mais... ne dit-on pas que c’est à Oxford que l’on produit la crème de la crème de l’Angleterre ?
2 commentaires:
Hi hi, j'imagine bien... Sinon, entre chez Lush, leurs crèmes* aux noms drôles me fascinent (mais je ne teste pas, poule mouillée que je suis !)... ;-) Bonne journée à Oxford !
*Durant ma première année de master, j'avais dû faire une analyse des pubs de crème de beauté, roooh, c'était drôle...
'Dans une jatte, dans une jatte plate,
Préparez votre, préparez votre pâte,
Ajoutez 2 oeufs frais et une bague
pour votre fiancé...'
J.Demi Peau d'Ane
mon film préféré)
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