Quelle mouche m’avait piquée, pour que je me mette, séance tenante, vers onze heures du soir, à la recherche de mon billet pour l’expo Canaletto à la National Gallery ? Je n’en avais nullement besoin à ce moment-là, de plus l’expo n’est même pas commencée... J’aurais donné ma main à couper que je l’avais reçu. J’ai tout mis sans dessus dessous chez moi comme Louis de Funès dans L’Avare, quand on lui a volé sa précieuse cassette. Et j’ai fait chou blanc.
En dernier ressort, il ne me resta plus qu’à invoquer Saint Antoine de Padoue, comme ma mère et ma grand-mère avant moi quand elles désiraient retrouver quelque chose qu’elles avaient perdu. En mars, en prévision d’une telle occasion, j’avais pris la photo de Saint Antoine de Padoue ci-dessus dans l’église Saint-Paul-Saint-Louis à Paris. Ma prévoyance m’effraie parfois !
En dernier ressort, il ne me resta plus qu’à invoquer Saint Antoine de Padoue, comme ma mère et ma grand-mère avant moi quand elles désiraient retrouver quelque chose qu’elles avaient perdu. En mars, en prévision d’une telle occasion, j’avais pris la photo de Saint Antoine de Padoue ci-dessus dans l’église Saint-Paul-Saint-Louis à Paris. Ma prévoyance m’effraie parfois !
Soudain j’ai pensé : « Regarde sur le Net ». J’ai fini par trouver une page où je pouvais vérifier ce qu’il était advenu de mon ticket et j’ai lu : Your ticket is being printed. De là à penser que c’est le cher Saint Antoine qui venait d’appuyer sur le bouton de l’imprimante, il n’y avait qu’un pas... Le lendemain matin, comme par un coup de baguette magique, je recevais mon ticket par la poste.
Cela n’aurait rien eu de bizarre si, dans ma frénésie pour retrouver ce satané billet, je n’étais tombée sur le DVD d’une émission sur la représentation du Christ en art que l’on m’avait enregistrée il y a quelques temps déjà. Je me suis mise à le regarder machinalement : c’est alors que j’ai vu mon historien d’art préféré devant un tableau de Murillo qu’il s’est mis illico presto à décortiquer avec sa verve habituelle. Cette toile représentait... Saint Antoine de Padoue, évidemment !
Cela n’aurait rien eu de bizarre si, dans ma frénésie pour retrouver ce satané billet, je n’étais tombée sur le DVD d’une émission sur la représentation du Christ en art que l’on m’avait enregistrée il y a quelques temps déjà. Je me suis mise à le regarder machinalement : c’est alors que j’ai vu mon historien d’art préféré devant un tableau de Murillo qu’il s’est mis illico presto à décortiquer avec sa verve habituelle. Cette toile représentait... Saint Antoine de Padoue, évidemment !
1 commentaire:
En bonne distraite que je suis, je suis souvent en tractations avec Saint Antoine ;-)
Enregistrer un commentaire