dimanche 18 juillet 2010

Pas piqué des hannetons

C’est d’un compliqué Inception de Christopher Nolan ! Mais c’est gripping, captivant. On voit Tokyo, ou plutôt la Tokyo Tower. On voit deux Shinkansen qui se croisent. Mais un seul Japonais. Et après on va à Paris mais on ne voit pas la Tour Eiffel, on voit des petites rues « typiques » ! Ne manquait plus que l’accordéon.
Au bout de la dernière séquence – époustouflante – je me suis rendu compte que je l’avais vue la main droite agrippant de toutes ses forces mon épaule gauche, tellement j’étais happée par le dénouement. Quand vous sortez du cinéma, vous avez envie de rêver, et de jauger vos rêves à l’aune des théories que Leonardo Dicaprio, expert ès-onirisme, distille tout au long du film.

Comme je dors trois fois plus j’ai donc eu une triple dose de rêves.
Dans le premier je trouvais un porte-monnaie bleu et une pochette noire. Vides. Je disais que je préférais la pochette noire.
Dans le second je trouvais un sac à provision dans le bus. Je me l’appropriais. A la fin je révélais mon erreur aux autres passagers du bus.
Le troisième se passait à Paris. Je prenais en photo la façade du Trocadéro ou d’une église qui brillait étrangement. On apercevait la Tour Eiffel derrière, un peu menaçante. Quelqu’un était en retard, il était question d’une librairie. A l’avant d’une voiture je cherchais une rue sur une carte...
Je ne comprends rien à ces rêves mais au moins ce qui m’a fait me réveiller n’était pas l’horripilante ritournelle de Piaf, comme dans le film !

Aucun commentaire: