Certains ne jurent que par les oeufs, qu'ils gobent en quantité industrielle. Mais ils aiment aussi la poule au pot. Quel dilemme !Ils en arrivent à élever des poules géantes dont un seul oeuf suffit à concocter une omelette pour 10 personnes. C'est très affectueux une poule.D’autres, c’est du canard dont ils sont friands, et au restaurant chinois ils roulent le Pékinois dans une petite crêpe, avec de la sauce au pruneau. D’autres encore, ils sont plus rares, se mettent tout nus, se roulent dans la farine, endossent de petites ailes et se lancent à la chasse aux oies. Fi de la dinde à Noël ! Ils veulent leur oie grasse et juteuse et du Capitole, s'il vous plaît!Il y a ceux qui aiment leur viande très rouge, qui découperaient un boeuf les yeux fermés, et qui veulent du ketchup sur leur hamburger comme William Sheller.Sans oublier Néandertal, qui tenait dans sa paume rugueuse des armes assez affûtées pour tailler un steak saignant dans un auroch ou dans un homo sapiens quand celui-ci s’y attendait le moins. Que dire de nos amis les Anglais, les rois du crumble ? Celui-ci fleurait bon la mûre sauvage, cueillie au bord du chemin où se trouve le pré des moutons d’hier. On m’a même montré le mûrier...Certaines, en Nouvelle-Calédonie, avec des fruits font de la confiture, et nous mettent l’eau à la bouche.Tout le monde a, parmi ses amis, une personne qui, au restaurant, ne choisit que du poisson. Moi je préfère les grosses crevettes.Même rouges, même rondes, ces tomates anglaises me font regretter les énormes tomates savoureuses et sucrées du Maroc. Elles avaient souvent des formes bizarres mais les salades de tomates, au Maroc, c’est autrement appétissant...
Et celles qui se pâment pour une feuille de salade ? Si au moins elles en faisaient de la dentelle au lieu de nous casser les noisettes !J’ai appris que celles-ci croissaient sur un noisetier, qu’elles ne poussaient pas salées ou recouvertes de chocolat. Mauve...ou blanche...Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse!
Mais quel que soit votre palais, vous ne pourrez faire autrement que de succomber au gâteau de la Reine Victoria (et de Nichola)!
Pour faire son merveilleux gâteau, la poule au bout de l’allée, qu'on risque mille fois de ratatiner, a fourni de bons oeufs; la vache dans le champ d’en face, qui vous regarde passer d'un bon regard... bovin, du bon lait; et la cuisinière y a mis tout son savoir-faire.
Et celles qui se pâment pour une feuille de salade ? Si au moins elles en faisaient de la dentelle au lieu de nous casser les noisettes !J’ai appris que celles-ci croissaient sur un noisetier, qu’elles ne poussaient pas salées ou recouvertes de chocolat. Mauve...ou blanche...Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse!
Mais quel que soit votre palais, vous ne pourrez faire autrement que de succomber au gâteau de la Reine Victoria (et de Nichola)!
Pour faire son merveilleux gâteau, la poule au bout de l’allée, qu'on risque mille fois de ratatiner, a fourni de bons oeufs; la vache dans le champ d’en face, qui vous regarde passer d'un bon regard... bovin, du bon lait; et la cuisinière y a mis tout son savoir-faire.
Ce délicieux gâteau, cette tasse de thé parfumée, après une belle journée à sillonner la campagne, c’est une des recettes du bonheur !
2 commentaires:
pas besoin de S.A.V avec ce gâteau écologique.
A ton tour de me faire saliver !
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