L’oiseau que tient cette jeune ionienne va passer un mauvais quart d’heure: elle va le sacrifier aux dieux. Elle empêche l’oiseau de s’échapper. On le sent presque gigoter. Mais j’aime son geste « protecteur ». Aujourd’hui j’ai l’impression que je suis l’oiseau et que la main m’appartient aussi : j’ai vraiment besoin de me remettre de cette semaine éprouvante. Après, je me relâcherai dans la nature vers le bleu du ciel!
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