Je viens de voir Séraphine de Martin Provost. Un très bon film. Je me suis attachée au personnage et j’ai même adopté le point de vue de son protecteur, Wilhelm Uhde et, comme lui, j’ai aimé les tableaux de Séraphine, je voulais qu’il l’expose et que le monde entier la connaisse. Mais dès le film fini, en repensant à ces peintures, je les ai trouvées carrément affreuses et effrayantes. J’étais vraiment mal à l’aise devant ces formes et ces couleurs, par la forme des feuilles surtout... J’ai retrouvé un peu des arbres de Séraphine au British Museum, sur une peinture sur soie représentant les différentes façons de peindre les arbres dans l’art indien. Heureusement qu’il y avait un joli poème et de la musique indienne pour me rassurer !
1 commentaire:
Je suis allée voir l'exposition au musée Maillol après avoir vu le film. Je pense que je les aurais détésté si j'avais vu ces tableaux sans rien en savoir.
Il y a un arbre de vie que j'ai trouvé très beau et un peu moins angoissant que les autres peintures.
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