Indiana Jones et le Royaume du Crâne de CristaI (Steven Spielberg, 2008)
« What a bigue turnippe ! » Ce franglais approximatif m’évite le chapelet de jurons qui me vint aux lèvres au sortir de la projection de ce film affligeant et poussif. Il y a des séances de cinéma qui vous font vraiment perdre votre temps et votre sang-froid. Pourtant pourtant pourtant... ce film peut se glorifier d’une séquence qui pourrait en racheter le tout, un clin d’oeil peut-être involontaire, un hommage de Spielberg à son plus glorieux aîné: la visite dans un cimetière et l’attaque-surprise de petits diables, qui plongent dans un trou pour en rejaillir l’instant suivant, et cela inlassablement, semble tout droit sortir d’une féérie à la Georges Méliès, « Sorcellerie culinaire » (1904), entre autre... Je déjeune avec Spielberg demain, je lui poserai la question.
« What a bigue turnippe ! » Ce franglais approximatif m’évite le chapelet de jurons qui me vint aux lèvres au sortir de la projection de ce film affligeant et poussif. Il y a des séances de cinéma qui vous font vraiment perdre votre temps et votre sang-froid. Pourtant pourtant pourtant... ce film peut se glorifier d’une séquence qui pourrait en racheter le tout, un clin d’oeil peut-être involontaire, un hommage de Spielberg à son plus glorieux aîné: la visite dans un cimetière et l’attaque-surprise de petits diables, qui plongent dans un trou pour en rejaillir l’instant suivant, et cela inlassablement, semble tout droit sortir d’une féérie à la Georges Méliès, « Sorcellerie culinaire » (1904), entre autre... Je déjeune avec Spielberg demain, je lui poserai la question.
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