In a Dark Dark House de Neil LaBute était une très belle pièce de théâtre, très dure, et épuisante pour les acteurs. C’est l’histoire de deux frères qui revisitent leur enfance et, même si on croit un instant qu’ils se parlent en toute franchise (ils passent deux heures à se crier dessus, à pleurer, à s’insulter ou à se dire qu’ils s’aiment), qu’ils crèvent l’abcès, en fait ils se mentent de plus belle. Chacun souffre de blessures qui ne cicatriseront jamais puisqu’ils vivent dans le mensonge perpétuel.
Le titre fait allusion à leur maison familiale et à la violence de leur père, mais aussi à une maison construite dans un arbre où l’un des deux frères dit avoir subi des attouchements, mais surtout à cette part sombre d’eux-mêmes qui n’en finit pas de leur gâcher la vie.
Et il n’est pas si grand que ça, Steven Mackintosh... il est même petit, même si au cinéma il paraît immense. Mais qu’il joue bien !
Comme toujours, après une si bonne soirée, on se promet d’aller plus souvent au théâtre, c’est si facile... et la proximité des comédiens, que l’on sent sur un fil, est quand même une expérience qu’il faut vivre de temps en temps.
Et il n’est pas si grand que ça, Steven Mackintosh... il est même petit, même si au cinéma il paraît immense. Mais qu’il joue bien !
Comme toujours, après une si bonne soirée, on se promet d’aller plus souvent au théâtre, c’est si facile... et la proximité des comédiens, que l’on sent sur un fil, est quand même une expérience qu’il faut vivre de temps en temps.
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